Désiré et Gigi on Road

De Saluzzo à Cuneo – 37km, fastoche

L’arrivée à Cuneo

En quittant Saluzzo, nous avions deux options : la faire tranquille jusque Cuneo et poursuivre le lendemain en train jusque Limone Piemonte ou la faire plus rude en allant jusqu’à Limone à vélo.

Nous sommes la semaine du 15 août et il fait très chaud, les italiens désireux d’un peu de fraîcheur ont donc décidé pour nous. Tous les hôtels de Limone sont pleins !

Nous nous arrêterons donc à Cuneo, ville prometteuse et non encore connue de nous.

Nous débutons la journée à la fraîche, et enfourcher nos vélos à 8h.

Ha non, ça, c’est pas nous….

Nous, on part à 11h, histoire de profiter des heures les plus chaudes de la journée. Sinon, c’est moins drôle.

La route est donc facile, un faux plat montant, tout du long.

Nous traversons le verger de l’Italie. On voit des pommes, des poires, des nectarines, des figues, des Prunes, des marrons, des noisettes, des vaches 😉

Et nous arrivons à Cuneo, vers 14h. La ville cit au rythme d’un immense marché. Les terrasses sont envahies de français. La première impression n’est donc pas dingue…

Nous sommes plus à l’écoute après la douche et une petite sieste. Nous découvrons alors une ville fort sympathique, construite « à l’italienne », une grande place au milieu et des arches tout du long de la longue avenue principale.

L’ambiance est à la détente. Un orage a éclaté l’après-midi, faisant détaler les français et rafraîchissant l’air de manière agréable.

La soirée est donc parfaite. Le tonnerre gronde encore au loin, on apprécie le petit vent frais et on se met en chasse d’une terrasse.

D’abord une glace !

Côté pile

Ils ont ma V7 !!!

Le Piémont, c’est aussi (et surtout) les plaisirs de la table. A chaque fois, nous sommes subjugués par les bonnes tables que nous découvrons. Cette étape n’échappe pas à ce plaisir.

Demain, nous prenons le train jusque Limone Piemonte (le train de 9h50, le précédent était à 7h50… trop tôt… ou 8h41… trop tôt encore 😉)

Arrivée à Limone à 10h28, et de là, on enfourche les bécanes pour 1000m de dénivelé +. On dort en refuge, au-dessus de la montagne. Je vous raconterai !

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